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Ils amènent l'ânon (...) et Jésus s'assit dessus. Marc 11, 7.
28 octobre 2016

Pas de limite à la dignité, pas de substitut à l'Homme

L'homme est mourant depuis des jours, dévoré par les rats depuis des nuits, Mère Teresa s'approche et le caresse avec tendresse. L'homme expire dans un sourire.

D'abord, l'histoire me révulse. 

A la réflexion, je comprends mieux cette histoire. Deux choses :

  1. Mère Teresa montre qu'il n'y a pas de limite à la dignité. Cet homme avait perdu son humanité aux yeux de ses voisins, et aux yeux de ceux qui avaient appelé Mère Teresa à son chevet il y avait comme un doute : c'est pas normal ce qui se passe pour cet homme, et en même temps nous ne savons que faire. Mère Teresa confirme : il n'y a pas de limite à la dignité de l'homme.
  2. Dieu n'a pas l'air de s'émouvoir du gâchis. Je lui disais : tu parles d'un papa ! Là, contemplant Mère Teresa, je comprends qu'il n'y a pas de substitut à l'Homme quand il s'agit de s'occuper de son voisin. J'en avais l'idée enfantine (si j'y arrive pas, papa le fera, lui, il sait tout faire) mais non, Dieu ne se substitue pas à nous.

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Ils amènent l'ânon (...) et Jésus s'assit dessus. Marc 11, 7.
  • Mes commentaires interlinéaires de quelques textes bibliques, lus de façon synchronique (le texte tel qu'il apparaît), et autres ressentis que les évènements m'inspirent. Après tout, ne suis-je pas prêtre, prophète et roi, comme toi ?
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