Et l'Hébreu ?
Je me pose la question de reprendre l'étude de l'Hébreu (sur Duolingo).
A ma grande surprise, mon goût pour l'Hébreu s'est éteint. C'est que je suis fatigué du type de rapports humains véhiculé par la culture hébraïque - et la nôtre, par imbibition au biberon. A savoir, le suprémacisme. Suprémacisme qui commence à la Genèse, le pâtissier créant la cerise à son image et ressemblance et lui donne comme mission de dominer le gâteau. De fait, on se croirait dans le triangle de Karpman : Israël a donné au monde un sauveur, ou l'attend, c'est selon. Victime du Nazisme (autre suprémacisme, Cf. "Untermensch"), l'Etat d'Israël se fait bourreau (des Palestiniens). Finalement, ce ne serait que ce point de vue, j'en perds l'intérêt pour cette langue. C'est sans compter d'autres phénomènes adjacents, comme le suprémacisme masculin dans la Bible, où une femme ne surnage dans un océan d'hommes que si elle est belle (ex. Esther), reine salope (Ex. Jézabel) ou putain (Ex. Tamar). A la limite, maman sans enfant (Anne, qui obtiendra Samuel).
Je me posais la question de reprendre l'étude de l'Hébreu et donc, finalement, non, je ne reprendrai pas l'étude de l'Hébreu.