Pour donner consistance à quelques "fairy tales" d'hier (check !)

Chers toutes et tous,

Merci pour les émotions que cette semaine avec vous a fait naître dans mon cœur, bravo pour le travail fluide, opiniâtre et patient de toustes. J'ai particulièrement goûté le concert.

Je te félicite, Jérôme, pour tes originaux hetpasyllabes. Pour ne pas être en reste, je partage pour la mémoire collective les présentations versifiées des 3 pièces auxquelles j'ai eu la joie d'être associé :

BWV4 - So Feiren Wir :
Ta Résurrection, quelle joie !
De la Vie, Seigneur, tu es roi.
Comme en bateau (en ferry, quoi),
Nuit du péché, efface-toi !

Initialement, j'avais prévu "Mettons Jules Ferry en émoi : Ta Résurrection, quelle joie, Seigneur, etc." mais la présence du maire de Grouches-Luchuel m'a fait opter pour plus discret dans cette chapelle désacralisée.

BWV198 - Der Ewigkeit :
Quel air de "Fairy Queen" te charmerait l'oreille,
Défunte bien-aimée, princesse sans pareil ?
Ton tombeau de saphir est baigné de soleil !

HWV183 - Caro Autor :
Doux tourment de mon cœur, je suis tien pour toujours.
A pieds, en vélo, voire en ferry, sans retour,
Que s'enfuie la discorde.. Il restera l'amour !

D'où me vinrent ces vers au si curieux défi ? Il s'agissait bien sûr de replacer "Ferry". C'est à vous chère Hélène et à Solène aussi, que je dois en public d'avoir ces coups féri. Je ne me souviens pas d'un concert où j'ai ri avec autant de cœur ; oh, mesdames, merci !

Bonne rentrée en septembre à toutes et à tous,

Amicalement,