Ni victime, ni bourreau, ni sauveur : une approche de la vie différente

C'est Dominique qui m'en parle : et si nous refusions d'être victime, ou bien bourreau, ou bien sauveur ? Ne jouer aucun des trois rôles ?

Avec le loup, je me rends compte que, refusant d'être victime, ayant abandonné d'être sauveur, je me comporte en bourreau... Et si je renonçais également à être bourreau, dans cette relation ? 

Etonnant, non ?

Comments

[Pascalledeley]

Il m'a fallu du temps, depuis le 10 juin 2012, pour abandonner la triade victime-sauveur-bourreau vis à vis de JR. Pour adopter la distance afin d'observer ce qui se passe en moi et soulager mon entourage des interactions difficiles avec JR.

Je croyais que JR avait deviné, j'avais tort. Il me faut lui dire mon besoin, car il a pénétré début mai la zone distancielle et je l'en ai fermement repoussé. Oui, il n'a pas deviné, ou bien il s'est enhardi. Pour quelle raison s'est-il ainsi approché ? Que cherchait-il ?



Merci pour votre lettre, JR. J'apprécie votre effort de clarification.

Comme vous, je constate que nous ne nous entendons pas. C'est un fait. Je le regrette. Peut-on s'entendre avec tous ? Le doit-on ?

Vous recherchez la paix, je la cherche moi aussi ; nous avons cela en commun.

Amour et vérité se rencontrent, justice et paix s'embrassent. Qu'avait donc en tête le psalmiste ? Je cherche toujours.

Je recherche la paix et ne l'avais pas trouvée dans nos relations passées. Un temps, votre séniorité faisait tout mon respect, mais le temps est un maître et cela aussi a évolué.

Je trouve une certaine paix depuis le 27 novembre 2017, dans la distance. C'est mon initiative, car c'est mon besoin.

Je suis en questionnement incessant, et plus encore depuis la mort de Daddy.

Notre relation est peu satisfaisante pour moi, elle constitue un mystère douloureux.

En attendant qu'aboutisse ma recherche d'une attitude plus idoine, croyez que votre respect de cette distance accélère le dénouement heureux de notre relation. Patience, JR, et confiance.