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Ils amènent l'ânon (...) et Jésus s'assit dessus. Marc 11, 7.
28 octobre 2018

Un frein à la conversion : se pardonner soi-même d'avoir été si longtemps ou si fort dans l'erreur...

Et un autre frein, aussi puissant, à ma conversion : j'ai peur que mes amis, devant l'évidence de mon état de pécheur, me renient, me rejettent. "Maintenant que tu le dis, le souvenir de ce que tu étais nous est insupportable ! Disparais, et lui avec !"

L'attitude de Jésus est tout autre. Pécheur tu es, soit, et ô combien. J'en suis tout à fait conscient. Pire, j'en suis mort. Mais je t'aime comme tu es.

Le sésame de la conversion du pécheur, c'est l'amour inconditionnel de sa maman. Et l'amour lucide du Christ.

Alors, de fait, ceux qui ont manqué d'un tel amour sont fondés à poursuivre dans leurs erreurs, le cas échéant.

A moins de trouver sur leur chemin de vrais amis.

Un ami ? Quelqu'un qui m'aime lucidement et inconditionnellement.

Un amour lucide, qui projète de la lumière sur d'éventuelles turpitudes - et n'en cesse pas d'aimer.

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Ils amènent l'ânon (...) et Jésus s'assit dessus. Marc 11, 7.
  • Mes commentaires interlinéaires de quelques textes bibliques, lus de façon synchronique (le texte tel qu'il apparaît), et autres ressentis que les évènements m'inspirent. Après tout, ne suis-je pas prêtre, prophète et roi, comme toi ?
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